• Lampadaire en métal chromé, icône du style moderniste, avec une vasque évasé reposant sur un fût cylindrique le tout maintenu par une base circulaire, Circa 1930. Bon état avec de légers enfoncements et traces d’oxydation. H : 1m72 Un exemplaire de ce lampadaire figurait dans l’aménagement de 1932 du Grand Salon de la Villa Cavrois (Croix).   Robert MALLET-STEVENS(1886-1945) de 1904 à 1909, Il étudie l’architecture. Il devient un architecte majeur de la période art déco, appliquant un style moderniste à des constructions de prestige pour une clientèle fortunée (Rue MALLET STEVENS, Paris XVI, maison de martel à Boulogne, villa Cavrois). Ainsi que des bâtiment publique comme le célèbre casino de Saint-Jean-de-Luz. Emblématique du style «  paquebot ». En 1929 il co-fonde l’Union des Artistes Modernes (UAM), et en 1935,Mallet-Stevens devient directeur de l’École des Beaux-Arts de Lille. Câblage aux standards européen.       Modernist chrome lamp, Robert MILLET-STEVENS (1886-1945), circa 1930 Chromed metal floor lamp, icon of the modernist style, with a flared basin resting on a cylindrical barrel all maintained by a circular base, Circa 1930. Good condition with slight dents and traces of oxidation. H : 62.72 inches A copy of this floor lamp appeared in the 1932 layout of the Grand Salon of the Villa Cavrois (Croix).   Robert MALLET-STEVENS (1886-1945) from 1904 to 1909, studied architecture. He became a major architect of the Art Deco period, applying a modernist style to prestigious constructions for a wealthy clientele (Rue MALLET STEVENS, Paris XVI, house of martel in Boulogne, villa Cavrois). As well as public buildings such as the famous casino of Saint-Jean-de-Luz. Emblematic of the "liner" style. In 1929 he co-founded the Union des Artistes Modernes (UAM), and in 1935, Mallet-Stevens became director of the Ecole des Beaux-Arts de Lille. Wide for european use.
  • L’œuvre est une technique mixte sur papier représentant trois femmes balinaises entourées de végétation et réunies autour d’un bassin d’eau, Circa années 40. L’œuvre est typique du style de LE MAYEUR DE MERPRES qui a représenté de nombreuses scènes du quotidien à Bali dans les années 30-40. L’œuvre est signée en bas à gauche, bon état Dimension : 53 x 38 cm (cadre : 70.5 x 55.2 cm) Jean LE MAYEUR DE MERPRES (1880-1958) est un artiste belge, ayant beaucoup voyagé à travers le monde (Afrique, Europe, Asie), pour finalement s’installer à Bali ; endroit où il rencontre sa muse et future femme : Ni Pollok. Sa maison à Sanur (Bali), est aujourd’hui devenue un musée qui lui est dédié.   The work is a mixed technique on paper representing three Balinese women surrounded by vegetation and gathered around a water basin, circa 40s. The work is typical of the style of LE MAYEUR DE MERPRES who represented many scenes of everyday life in Bali in the 30s-40s. The work is signed lower left, good condition Dimensions: 53 x 38 cm (frame: 70.5 x 55.2 cm) Jean LE MAYEUR DE MERPRES (1880-1958) is a Belgian artist, having traveled widely around the world (Africa, Europe, Asia), to finally settle in Bali; place where he meets his muse and future wife: Ni Pollok. His house in Sanur (Bali), has now become a museum dedicated to him. Dimension : 20.87 x 14.97 inches ( frame : 27.76 x 21.74 inches)
  • Ce dessin en pastel représente un orang-outan, l’artiste su restituer avec justesse l’animal de par le dessin mais surtout par la maîtrise des couleurs donnant au pelage une impression de détails et de réalisme. André Margat est un peintre ayant fait partie du « Groupes des Douze » ;des peintres animaliers, avec notamment Paul JOUVE. Il a également été récompensé dans sa catégorie en 1988 avec le Grand Prix Animalier ; Édouard-Marcel Sandoz. Signé en bas à droite et daté 1929, Bon état avec quelques piqûres, Dimension : 64.5 x 48.5 cm (cadre : 71.5 x 56 cm)     This pastel drawing represents an orangutan, the artist was able to accurately reproduce the animal by drawing but especially by the mastery of colors giving the coat an impression of details and realism. André Margat is a painter who was part of the «Groups of the Twelve»;animal painters, including Paul JOUVE. He was also awarded in his category in 1988 with the Grand Prix Animalier; Édouard-Marcel Sandoz. Signed lower right and dated 1929, Good condition with some punctures, Dimensions: 26.97 x 19.1 inches (frame: 28.15 x 22.05inches)
  • GIO PONTI, Etagère en laiton et verre, Circa 1939   Elégante étagère de laiton et de verre, comportant cinq étagères soutenues de bois maintenues par deux lames de verres aux extrémités, le tout solidement relié et fixé par des vis en laiton. Le verre est engravé « Vitrex » Réalisé à l’origine pour les bureaux de la société Ventrocoke à Milan Gio Ponti est diplômé de l’Ecole Polytechnique de Milan, et ouvre en 1921 son cabinet d’architecture. Il est nommé directeur artistique de la manufacture de porcelaine Richard-Ginori en 1923. En 1925,il remporte un grand prix à l’Exposition internationale des Arts Décoratifs de Paris. Il collabore également avec les marques Christofle à Paris et Venini à Murano. En parallèle, il crééé galement des séries de meubles Art Deco à des prix accessibles , La Rinascente, pour les grands magasins italiens un choix. S’ajoute à cela sa revue Domus fondée en 1928 dans laquelle il mettra en avant le « made in italy ». Dans les années 1930, il entame  la construction des Case Tipiche, à Milan, et des bureaux pour la société Montecatini. En 1940, il se consacre au Palazzo del Bo de l’université de Padoue. Pour finir de 1950 à 1960, Gio Ponti sera surtout connu pour son architecture qu’il déployera à travers le monde   Dimensions : H : 84 cm L : 88 cm P : 37 cm  
    GIO PONTI, Brass and glass shelf, Circa 1939   Elegant brass and glass shelf, featuring five supported wooden shelves held by two glass blades at the ends, all securely connected and fixed by brass screws. The glass is engraved «Vitrex» Originally designed for the Ventrocoke offices in Milan   Gio Ponti graduated from the Polytechnic of Milan, and opened his architectural practice in 1921. He was appointed artistic director of the Richard-Ginori porcelain factory in 1923. In 1925, he won a grand prize at the International Exhibition of Decorative Arts in Paris. He also collaborates with the brands Christofle in Paris and Venini in Murano. In parallel, he also created series of Art Deco furniture at affordable prices , La Rinascente, for Italian department stores a choice. In addition to this, his magazine Domus, founded in 1928, will highlight the «made in italy». In the 1930s, he began the construction of the Case Tipiche in Milan and offices for the company Montecatini. In 1940 he dedicated himself to the Palazzo del Bo of the University of Padua. To finish from 1950 to 1960, Gio Ponti will be best known for his architecture that he will deploy around the world   Dimensions: H: 33.1inches W: 34.5inches D: 14.5inches
  • Exceptionnelle pendule électrique (mue par une pile ronde standard LR14) Art Déco transparente en verre à boîtier rond nickelé sur un socle également en verre à trois étages. Le cadran, typiquement Art Déco, est transparent et laisse apparent dans un double entourage de cercles le mouvement du balancier électro-magnétique. Les aiguilles sont de formes géométriques, caractéristiques de la période et des modèles documentés de Léon HATOT. La pendule est signée « Ato ». Elle est en bon état, fonctionne et sort d'une révision par un horloger professionnel. ATO est une marque d’horlogerie prestigieuse fondée par Léon Hatot (1983-1953), il est formé à l’Ecole Nationale d’Horlogerie de Besançon de 1895 à 1898 ; ce n’est qu’en 1905 qu’il se lance dans la production et la gravure de boîtiers de montres en métaux précieux. Entre 1918 et 1919 est construite l’usine de la "fabrique d’horlogerie et de joaillerie" spécialisée dans l’horlogerie de luxe. En 1923, il s’intéresse alors aux évolutions possible dans l’horlogerie et collabore alors avec l’ingénieur des Arts et Métiers Marius Lavet, diplômé de l’Ecole supérieure d’Electricité. Il commence par la suite la fabrication de pendules et d’horloges électriques, commercialisées sous la marque Ato à partir de 1923. Deux ans plus tard en 1925, il remporte, le grand prix d’art décoratif. Léon Hatot est considéré comme l’un des pionniers des pendules électriques haut de gamme.   Hauteur : 34 cm Largeur : 30 cm Profondeur : 12cm
      ATO glass transparent electric pendulum, Art Deco, France, Circa 1930   Exceptional electric pendulum (powered by a standard round battery LR14) Art Deco transparent glass with nickel-plated round case on a base also three-storey glass. The dial, typically Art Deco, is transparent and leaves apparent in a double circle of circles the movement of the electro-magnetic balance. The hands are geometric shapes, characteristic of the period and documented models of Léon HATOT. The clock is signed «Ato». It is in good condition, works and comes out of a revision by a professional watchmaker. ATO is a prestigious watchmaking brand founded by Léon Hatot (1983-1953), it was formed at the Ecole Nationale d'Horlogerie de Besançon from 1895 to 1898; it was only in 1905 that it launched into the production and engraving of watch cases made of precious metals. Between 1918 and 1919 is built the factory of the "factory of clock industry and jewellery" specialized in the clock industry of luxury. In 1923, he became interested in possible developments in watchmaking and then collaborated with the engineer of Arts and Crafts Marius Lavet, a graduate of the Ecole supérieure d'Electricité. He then began manufacturing electric clocks and clocks, marketed under the brand Ato from 1923. Two years later in 1925, he won the Grand Prix for decorative art. Léon Hatot is considered one of the pioneers of high-end electric clocks.   Height : 86.36 inches Width : 76.2 inches Depth : 30.48 inches
  • Masque « Ntomo », population Bamana, Mali Masque à peigne à quatre dents, bois recouvert de cauris, patine ancienne.  Dimensions : H : 52 cm L : 14.5 cm  Le masque Ntomo, est associé à un rituel d’initiation des jeunes hommes non circoncis des sociétés d’Afrique de l’Ouest. Ce type de masque est identifiable grâce à sa partie supérieure en forme de peigne de trois à huit cornes.  On appelle Bamana les populations du Mali, Nord-Est de la Guinée et Nord de la Côte d’Ivoire, partageant un mode de vie commun et une langue similaire, la langue mandingue. Les Bamana ont une histoire qui remonte à l’Empire du Ghana au IIIe siècle, puis à l’Empire du Mali au XIIIe. On rencontre d’autres appellations de cette population, comme Bambara, qui est utilisée au XIIIe pour désigner ces peuples on convertis à l’islam, bamabara voulant dire “infidèles”. La vie d’un homme issu de cette population est rythmée en étapes codifiées. Un jeune garçon doit passer un rituel initiatique et éducatif dirigé par une société pour devenir un homme. Cette société initiatique forme les jeunes de 6 à 13 ans. Chaque promotion suit une formation secrète de trois à cinq ans. Les enseignements portent sur des questions métaphysiques, sur la maîtrise de soi, la place de l’homme, l'humilité, le respect. D’autres épreuves complètent l'enseignement comme l’apport de vivres, par l'aumône, le travail agricole, la chasse et la pêche. C’est lors de la fête annuelle que les jeunes faisaient des épreuves corporelles de flagellation munis d’un fouet et d’un masque Ntomo.  Ces initiations étaient contrôlées par les forgerons, les seuls à pouvoir confectionner ces masques sacrés.  En effet, le bois est réputé comme réceptacle du nyama, une énergie dangereuse que seuls les forgerons peuvent maîtriser grâce à leurs savoirs.  La confection du masque est rituelle et soumise à des conditions. Avant de sculpter, le forgeron communique avec un génie, le djinn, qui lui indique la localisation de l'arbre à abattre, sa forme et son essence. Le forgeron est soumis à des interdits comme l’abstinence, il doit sculpter seul, loin du village. Les masques, une fois sculptés, bénéficient d’une grande force spirituelle.  Ntomo désigne en Bamana “jujubier”, l’arbre sur lequel étaient offerts les sacrifices. Ntomadyiri, (l’arbre du Ntomo) est considéré comme l’ancêtre des forgerons et le créateur de la société Ntomo, il serait le premier à avoir sculpté un masque.  Par ailleurs, il ne faut pas envisager le masque comme un objet individuel, il est associé à un costume, à un fouet et fait partie d’un rituel. Le masque ressemble à un être cornu, griffu que l’on ne peut définir, faisant référence à des animaux stylisés. La bouche est discrète, le nez proéminent. La bouche fine, parfois absente dans les masques les plus anciens, est associée au contrôle de la parole et des actes, à la préservation des secrets et à la force face à la douleur.  Le nombre de cornes est symbolique et riche de sens, il indique non pas le genre du porteur qui est un jeune garçon, mais le genre du masque. Ainsi les masques à trois ou six cornes est masculin, à quatre ou huit cornes est féminin et à deux, cinq ou sept cornes est androgyne. Notre masque possède quatre dents, est est donc associé au genre féminin. Les masques de genre féminins révèlent selon Dominique Zhan “la nature corporelle de l’homme, sa féminité, passivité et souffrance”.  Un autre masque Bamana est présenté à la vente, il possède sept dents, associé à l'androgynie.  
      Splendid four rams  Ntomo Mask, Bamana Population, Mali Four Rams, Ntomo Mask, Mali, Wood and cowrie shells. Dimensions: 52 x 14.5 cm / 20.48 x 5.51inches The Ntomo mask is used in the initiation rituals of young men in populations across Western Africa. This type of mask is characterized by the presence of rams on the upper part, ranging from 3 to 8 rams. The Bamana people reside in Mali, the north of Guinea, and the north of Ivory Coast, sharing a common way of life and a common language (Mandingo). The Bamana population has a long history, dating back to the Ghana Empire in the 3rd century and the Mali Empire in the 13th century. They are also known as the Bambara, a name given to them by Islamic merchants, meaning "unfaithful," as they did not adopt Islam. The life of a Bamana man is highly structured. Indeed, for a young boy to transition into manhood, he must undergo an initiation ritual overseen by a society. This initiation society imparts secretive teachings to young boys aged 6 to 13. They learn about metaphysical matters, self-control, respect, humility, and the role of men in society. They are also taught survival skills such as hunting, fishing, agricultural labor, and giving alms. During the annual festival, young boys wear the Ntomo mask along with a whip and special clothing. The initiation process is controlled by blacksmiths; only they can craft these masks. Wood is considered the bearer of "nyama," a dangerous energy that only blacksmiths can control through their knowledge. The creation of the mask is a sacred act and comes with many conditions. The blacksmith must communicate with a genie who will indicate which tree to cut and where. The blacksmith then leaves the village and observes abstinence. "Ntomo" means jujube, the tree on which sacrifices were offered. "Ntomadyri," the tree of Ntomo, is considered the ancestor of blacksmiths and the creator of the Ntomo society. It is said to be the first to sculpt a mask. The mask resembles a stylized animal with rams and claws. The mouth is discreet, and the nose is prominent. The small mouth can symbolize control over speech and actions, as well as the keeping of secrets. In the oldest masks, there is no mouth. The number of rams is symbolic; it indicates the gender of the mask (not the wearer's gender). When there are 3 or 6 rams, it is a masculine mask; when there are 4 or 8, it is a feminine mask, and when there are 5 or 7, it is an androgynous mask. Our is a feminine mask. We have another Bamana mask; it has 7 rams.
  • Masque « Ntomo », population Bamana, Mali Masque de la région de Ségou, à sept dents, bois rehaussé de cauris, circa 1930-1940 Dimensions : H : 61.5 cm Le masque Ntomo, est associé à un rituel d’initiation des jeunes hommes non circoncis des sociétés d’Afrique de l’Ouest. Ce type de masque est identifiable grâce à sa partie supérieure en forme de peigne de trois à huit cornes.  On appelle Bamana les populations du Mali, Nord-Est de la Guinée et Nord de la Côte d’Ivoire, partageant un mode de vie commun et une langue similaire, la langue mandingue. Les Bamana ont une histoire qui remonte à l’Empire du Ghana au IIIe siècle, puis à l’Empire du Mali au XIIIe. On rencontre d’autres appellations de cette population, comme Bambara, qui est utilisée au XIIIe pour désigner ces peuples on convertis à l’islam, bamabara voulant dire “infidèles”. La vie d’un homme issu de cette population est rythmée en étapes codifiées. Un jeune garçon doit passer un rituel initiatique et éducatif dirigé par une société pour devenir un homme. Cette société initiatique forme les jeunes de 6 à 13 ans. Chaque promotion suit une formation secrète de trois à cinq ans. Les enseignements portent sur des questions métaphysiques, sur la maîtrise de soi, la place de l’homme, l'humilité, le respect. D’autres épreuves complètent l'enseignement comme l’apport de vivres, par l'aumône, le travail agricole, la chasse et la pêche. C’est lors de la fête annuelle que les jeunes faisaient des épreuves corporelles de flagellation munis d’un fouet et d’un masque Ntomo.  Ces initiations sont contrôlées par les forgerons, les seuls à pouvoir confectionner ces masques sacrés.  En effet, le bois est réputé comme réceptacle du nyama, une énergie dangereuse que seuls les forgerons peuvent maîtriser grâce à leurs savoirs.  La confection du masque est rituelle et soumise à des conditions. Avant de sculpter, le forgeron communique avec un génie, le djinn, qui lui indique la localisation de l'arbre à abattre, sa forme et son essence. Le forgeron est soumis à des interdits comme l’abstinence, il doit sculpter seul, loin du village. Les masques, une fois sculptés, bénéficient d’une grande force spirituelle.  Ntomo désigne en Bamana “jujubier”, l’arbre sur lequel étaient offerts les sacrifices. Ntomadyiri, (l’arbre du Ntomo) est considéré comme l’ancêtre des forgerons et le créateur de la société Ntomo, il serait le premier à avoir sculpté un masque.  Par ailleurs, il ne faut pas envisager le masque comme un objet individuel, il est associé à un costume, à un fouet et fait partie d’un rituel. Le masque ressemble à un être cornu, griffu que l’on ne peut définir, faisant référence à des animaux stylisés. La bouche est discrète, le nez proéminent. La bouche fine, parfois absente dans les masques les plus anciens, est associée au contrôle de la parole et des actes, à la préservation des secrets et à la force face à la douleur.  Le nombre de cornes est symbolique et riche de sens, il indique non pas le genre du porteur qui est un jeune garçon, mais le genre du masque. Ainsi les masques à trois ou six cornes est masculin, à quatre ou huit cornes est féminin et à deux, cinq ou sept cornes est androgyne. Dans notre cas, le masque à sept dents est associé à l'androgynie.     Un autre masque bamana est présenté à la vente, il possède quatre dents, est est donc associé au genre féminin. -------------------------------------------------------------------------   Splendid Seven rams  Ntomo Mask, Bamana Population, Mali, 1930-1940 Seven Rams Ntomo Mask, Ségou region, Mali, Wood, cowrie shells, reptile skin. Dimensions: 61.5 cm / 24.02 inches. The Ntomo mask is used in the initiation rituals of young men in populations across Western Africa. This type of mask is characterized by the presence of rams on the upper part, ranging from 3 to 8 rams. The Bamana people reside in Mali, the north of Guinea, and the north of Ivory Coast, sharing a common way of life and a common language (Mandingo). The Bamana population has a long history, dating back to the Ghana Empire in the 3rd century and the Mali Empire in the 13th century. They are also known as the Bambara, a name given to them by Islamic merchants, meaning "unfaithful," as they did not adopt Islam. The life of a Bamana man is highly structured. Indeed, for a young boy to transition into manhood, he must undergo an initiation ritual overseen by a society. This initiation society imparts secretive teachings to young boys aged 6 to 13. They learn about metaphysical matters, self-control, respect, humility, and the role of men in society. They are also taught survival skills such as hunting, fishing, agricultural labor, and giving alms. During the annual festival, young boys wear the Ntomo mask along with a whip and special clothing. The initiation process is controlled by blacksmiths; only they can craft these masks. Wood is considered the bearer of "nyama," a dangerous energy that only blacksmiths can control through their knowledge. The creation of the mask is a sacred act and comes with many conditions. The blacksmith must communicate with a genie who will indicate which tree to cut and where. The blacksmith then leaves the village and observes abstinence. "Ntomo" means jujube, the tree on which sacrifices were offered. "Ntomadyri," the tree of Ntomo, is considered the ancestor of blacksmiths and the creator of the Ntomo society. It is said to be the first to sculpt a mask. The mask resembles a stylized animal with rams and claws. The mouth is discreet, and the nose is prominent. The small mouth can symbolize control over speech and actions, as well as the keeping of secrets. In the oldest masks, there is no mouth. The number of rams is symbolic; it indicates the gender of the mask (not the wearer's gender). When there are 3 or 6 rams, it is a masculine mask; when there are 4 or 8, it is a feminine mask, and when there are 5 or 7, it is an androgynous mask. Ours is androgynous. We have another Bamana mask; it has 4 rams.
  • PFEIFFER Herni Ernst (1907-1994) « Pas de deux », 1931, aquarelle, Monogrammée et datée en bas à droite. Dimensions : 42 x29 cm   Henri Pfeiffer est un artiste allemand qui commence ses études artistiques à l’université de Bonn puis au Bauhaus auprès de Paul Klee et de Kandinsky.  Ses créations sont marquées par un sens du mouvement, du dynamisme et de la couleur proche des avant-gardes européennes. Ses personnages dansants aux corps anguleux qui viennent se distinguer du fond coloré traduisent une atmosphère dansante et envoûtante.    Henri Pfeiffer a longuement travaillé sur la technique picturale, sur les différentes manières de développer une peinture. Ainsi ses œuvres sont réalisées avec des techniques expérimentales que l’artiste développe comme cette aquarelle réalisée avec des pigments non miscibles. Le rendu est d’une extrême originalité et permet d’accentuer l’éclat des couleurs et la sensation de mouvement.  Arrêté par la Gestapo à la dissolution du Bauhaus en 1933 il ne reprendra jamais la peinture et devient médecin ophtalmologue spécialisé dans la perception des couleurs. Il y consacre notamment un livre en 1956 “l’Harmonie des Couleurs’’ et enseigne la chromatologie à Paris (où il s'est installé après la guerre) à l’Ecole des Arts Appliqués dès 1960. Cette œuvre est titrée “Pas de deux”, elle est monogrammée et datée en bas à droite. Pour découvrir l'artiste cliquez ici 
      Henri Pfeiffer is a German artist who pursued artistic studies at the University of Bonn and later at the Bauhaus under the guidance of Paul Klee and Kandinsky. His creations are characterized by a sense of movement, dynamism, and color, closely tied to European avant-gardes. His dancing figures with angular bodies, distinct from the colorful backgrounds, convey a captivating and enchanting atmosphere.   Henri Pfeiffer extensively explored pictorial techniques and different ways of developing paintings. As a result, his works were created using experimental techniques that the artist developed, such as this watercolor made with non-miscible pigments. The outcome is extremely original, emphasizing the brilliance of colors and the sensation of movement.   Arrested by the Gestapo during the dissolution of the Bauhaus in 1933, he never returned to painting and became an ophthalmologist, a recognized specialist in color perception. He dedicated a book to this subject in 1956, titled 'L’Harmonie des Couleurs' (The Harmony of Colors), and taught chromatology in Paris (where he settled after the war) at the School of Applied Arts from 1960.   This artwork is titled 'Pas de Deux,' monogrammed, and dated at the bottom right. For more informations about Henri Pfeiffer, please click here  Dimensions : 42 x 29 cm  16.53 x 11.41 inches 
  • Fabuleuse paire de bougeoirs en cristal Baccarat à quatre bras de lumière, créée par Jacques Adnet.  Jacques Adnet est un architecte et créateur français, qui a débuté sa carrière au sein d’un des premiers ateliers d’art  moderne, La Maîtrise  dirigé par Maurice Dufrêne. En 1928, Jacques Adnet se retrouve à la tête de la Compagnie des Arts Français et travaille avec de nombreux artistes comme Picasso, Dunand ou encore Perriand. Grâce à ses œuvres aux motifs épurés, simples, aux matériaux nouveaux comme le verre et le métal, il est considéré comme un des principaux représentants du modernisme et de l’Art Déco français.  Baccarat est née d'une association d’artisans de l’Est de la France, qui parvient en 1764 à créer un verre d’une grande qualité, puis en 1816, à  développer un cristal d’une pureté inégalée. Baccarat a dès lors acquis sa réputation de créateur de luxe, l’entreprise a notamment fourni du mobilier aux Maharaja des Indes, a créé des candélabres pour Nicolas II de Russie, ou encore de nombreuses pièces pour les appartements de Napoléon III au Louvre. Les plus grands artistes ont travaillé avec Baccarat, comme Salvador Dali, Philippe Starck ou encore Jacques Adnet.  Cette paire de bougeoirs est le fruit d'une collaboration entre Adnet et Baccarat, modèle créé en 1935. Il présente une base cylindrique, un fut ornementé d’une boule de cristal et quatre bras de lumière. Les lignes sont épurées, simplifiées témoignant d’une grande modernité. Les créations de Jacques Adnet sont reconnaissables grâce à l’alliage du bronze doré et de la boule de cristal Baccarat que l’on connaît également dans ses lampes de table.  Cette paire est signée sous  chacune des bases du cachet “Baccarat” et numérotée 7957.  Dimensions : H. 13cm D. 22cm Pour découvrir Jacques Adnet, cliquez ici 
    Fabulous pair of Baccarat crystal candelabras with four light arms, created by Jacques Adnet.   Jacques Adnet, a French architect and designer, began his career at one of the first modern art workshops, La Maîtrise, directed by Maurice Dufrêne. In 1928, Jacques Adnet found himself at the helm of the Compagnie des Arts Français, collaborating with numerous artists such as Picasso, Dunand, and Perriand. Thanks to his works featuring clean, simple patterns and the use of new materials like glass and metal, he is considered one of the main representatives of French modernism and Art Deco.   Baccarat originated from an association of artisans in Eastern France, achieving the creation of high-quality glass in 1764 and developing unparalleled crystal purity in 1816. Baccarat gained a reputation for luxury creations, supplying furniture to the Maharajas of India, crafting candelabras for Nicholas II of Russia, and creating numerous pieces for Napoleon III's apartments at the Louvre. Prominent artists such as Salvador Dali, Philippe Starck, and Jacques Adnet have collaborated with Baccarat.   This pair of candlesticks is the result of collaboration between Adnet and Baccarat, with the model created in 1935. It features a cylindrical base, a stem ornamented with a Baccarat crystal ball, and four light arms. The lines are clean and simplified, showcasing a great sense of modernity. Jacques Adnet's creations are recognizable through the combination of gilded bronze and Baccarat crystal balls, as seen in his table lamps. This pair is signed under each base with the "Baccarat" stamp and numbered 7957. Dimensions : H. 13cm D. 22cm For more informations about Jacques Adnet, please click here 
  • Fabuleux projet de couverture de théâtre  par Serge Tchekhonine Serge Tchekhonine est un artiste russe qui a suivi à Saint-Pétersbourg des cours  de dessins appliqués, de céramique et de poterie.  Serge Tchekhonine s’installe en France en 1928. On le remarque pour ses céramiques d’une grande finesse, puisqu’il avait dirigé la manufacture d'État de Petrograd, mais aussi pour ses portraits et miniatures.  “Son œuvre est d’une variété extrême. Il rappelle ces artistes de la Renaissance qui abordaient avec la même maîtrise et la même perfection les domaines les plus divers de l’art” rapporte le journal quotidien l’Homme Libre, le 11 juin 1929 à l’occasion de son exposition personnelle.  En France, il travaille avec des bijoutiers, des peintres et s’associe avec des Théâtres dont il réalise des projets de costumes et des affiches.    Cette œuvre est un projet de couverture pour les Ballets Russes de Vera Nemtchinova pour le Théâtre des Champs-Elysées en 1930. L’artiste fait partie de ces Russes installés à Paris dans les années 1930, à l’image de Léon Bakst. On remarque toute l’influence des avant-gardes russes, dans le traitement des corps simplifiés, géométrisés, et dans le sens inouï du mouvement et du dynamisme. Par ailleurs, son œuvre est très décorative, colorée et rappelle l’art du collage. C’est un dessin à l’encre brune, avec des rehauts d’aquarelle et de gouache sur papier. L'œuvre est signée en bas à gauche. Fourni avec un certificat d’authenticité.    Dimensions (à vue)  : 38.5 x 28 cm  (avec cadre) : 57 x 46 cm ------------------------------------------------- Fabulous theater cover project by Serge Tchekhonine. Serge Tchekhonine was a Russian artist who studied applied drawing, ceramics, and pottery in St. Petersburg. He settled in France in 1928, gaining attention for his finely crafted ceramics, having previously directed the State Manufacture of Petrograd, as well as for his portraits and miniatures. 'His work is extremely varied. It recalls those Renaissance artists who approached the most diverse domains of art with the same mastery and perfection,' reported the daily newspaper L’Homme Libre on June 11, 1929, during his solo exhibition.   In France, Tchekhonine collaborated with jewelers, painters, and theaters, creating costume designs and posters.   This artwork is a cover project for the Ballets Russes of Vera Nemtchinova at the Théâtre des Champs-Elysées in 1930. The artist is part of the Russian community in Paris in the 1930s, reminiscent of Léon Bakst. The influence of Russian avant-gardes is evident in the treatment of simplified, geometric bodies and the incredible sense of movement and dynamism. Furthermore, his work is highly decorative, colorful, and reminiscent of collage art.   It is a drawing in brown ink, with highlights in watercolor and gouache on paper. The artwork is signed at the bottom left and comes with a certificate of authenticity. Dimensions (sight size): 38.5 x 28 cm (with frame): 57 x 46 cm.
  • Fabuleux dessin de méharistes sur des dromadaires par Paul Jouve. Paul Jouve est un illustrateur et sculpteur français, passionné depuis son plus jeune âge par les animaux, qu’il découvre au Muséum et dans les zoos parisiens. Il est le plus célèbre peintre animalier de la période Art Déco.  En 1931, Paul Jouve embarque pour l’Afrique depuis Bordeaux. Il se rend à Dakar, et entreprend un périple à partir du Sénégal vers le Soudan, le Niger et le Dahomey. C’est durant ce voyage qu’il réalise de nombreux dessins et peintures de méharistes et Touaregs. Notre dessin est issu de ce voyage, comme l’huile sur carton représentant un Méhari du Niger également proposée dans notre galerie.  Ces dessins de voyage permettent à l’artiste d’étudier de nouveaux animaux et de représenter les peuples qu’il découvre. Une fois rentré en France, il réalise de nombreuses lithographies et compositions issues de ses notes et croquis de voyage. Les peintures et dessins originaux de Paul Jouve sont rares et très recherchés. L’œuvre a été réalisée  sur papier grâce à différentes techniques à la fois sèches, le crayon et humides, l’encre de chine et la gouache  marquant la virtuosité technique de l’artiste. Cette œuvre est vendue avec un certificat d'authenticité par Dominique Suisse. Dimensions : H. 30cm L. 22.5cm Pour en apprendre un peu plus sur l'artiste, cliquez ici
    Fabulous drawing of Méharistes on dromedaries by Paul Jouve. Paul Jouve was a French illustrator and sculptor, captivated by animals from a young age, exploring them at the Museum and Parisian zoos. He is the most renowned animal painter of the Art Deco period. In 1931, Paul Jouve set off for Africa from Bordeaux, reaching Dakar and embarking on a journey from Senegal to Sudan, Niger, and Dahomey. It was during this expedition that he created numerous drawings and paintings of Méharistes and Tuaregs. Our drawing originates from this voyage, much like the oil on cardboard depicting a Niger Méhari, also featured in our gallery. These travel drawings allowed the artist to study new animals and represent the peoples he encountered. Upon returning to France, he produced numerous lithographs and compositions based on his travel notes and sketches. Original paintings and drawings by Paul Jouve are rare and highly sought after. The artwork was created on paper using various techniques, both dry, such as pencil, and wet, such as India ink and gouache, showcasing the artist's technical virtuosity. This artwork is sold with a certificate of authenticity by Dominique Suisse. Dimensions : H. 30cm L. 22.5cm Height: 11.811 inches Width: 8.858 inches For more informations about the artist, please click here
  • LAFUGIE Léa (1890-1972), Portrait d’une jeune Cambodgienne, huile sur panneau, 33 x 23,5 cm Léa Lafugie est une peintre française née à Paris, connue pour ses portraits et paysages issus de ses voyages. Elle étudie à l’Ecole Nationale des Arts Décoratifs de Paris, puis à l’Académie des Beaux-Arts et commence sa carrière en exposant au Salon des Artistes Indépendants.  Passionnée depuis son plus jeune âge par les récits de voyages et d’aventures,elle décide de partir  dès 1924 en Afrique du Nord, puis en 1925 en Asie. Elle séjourne en Inde, en Birmanie, au Tibet, puis dans la péninsule indochinoise et en extrême Orient. Durant ces voyages, elle ne cesse de peindre et de représenter ce qu’elle découvre et les personnes qu’elle rencontre. Ce portrait a été réalisé lors d’un voyage au Cambodge, il représente une jeune fille concentrée sur son ouvrage. De ce portrait émane une grande douceur et sérénité.  C’est une huile sur panneau de bois qui provient de la célèbre collection Jean-Paul Gérard-Pau, signée en bas à gauche. Datation : entre 1925-1930, dates où Léa Lafugie s’est rendue en Asie. Dimensions : 33 x 23.5 cm ---------------------------------------------------------------------------------------- Splendid  Portrait of a Young Cambodian Girl, by Léa LAFUGIE (1890-1972),oil on panel, 33 x 23.5 cm Léa Lafugie was a French painter born in Paris, known for her portraits and landscapes inspired by her travels. She studied at the National School of Decorative Arts in Paris and later at the Academy of Fine Arts, beginning her career by exhibiting at the Salon des Artistes Indépendants. Passionate about travel and adventure from a young age, she decided to embark on a journey in 1924 to North Africa and then in 1925 to Asia. She stayed in India, Burma, Tibet, the Indochinese peninsula, and the Far East. Throughout these travels, she continued to paint  the sights and people she encountered. This oil painting on a wooden panel was painted during a journey to Cambodia. It depicts a young girl focused on her work. In this portrait, we can perceive a profound sense of kindness and tranquility. Dimensions : 33 x 23.5 cm / 13 x 9.25 inches Dating: between 1925-1930, the period when Léa Lafugie traveled to Asia. This artwork comes from the renowned collection of Jean-Paul Gérard-Pau. Signed Lafugie.
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