• HAGENAUER (d’après), paire de statuettes porteuses d’eau, « femme girafe » Bronze à double patine noire et dorée Dimensions : 45 cm Paire de bronze représentant une africaine portant de l’eau. La femme présente un corps stylisé aux proportions élancées dégangeant une grande élégance. Les membres sont allongés, le dos courbé pour laisser apparaître et mettre en valeur les attributs féminins. Un léger mouvement se dessine dans les jambes, évitant l’effet statique et animant la figure. Les traits du visage sont stylisés et simplifiés. Le corps est en bronze à patine noire, sombre, ce qui met en valeur la ligne et les courbes.  Seuls les bijoux de cuisse, de cou, boucles d’oreilles et vase sont dorés ce qui relève les courbes et met en valeur le corps.  Cette paire est caractéristique du style de Karl Hagenauer (1898-1956), un célèbre designer autrichien, spécialisé dans la production d’objets en métal et en bois, reconnu pour ses œuvres modernes et stylisées. Ce modèle date des années 1970, où de nombreuses rééditions des classiques de Hagenauer ont été réalisées. Nous présentons également dans notre galerie un bronze grandeur nature du même modèle. 
    Stunning pair of African lady carrying water, in the style of Karl Hagenauer 1970’s, Bronze with double black and gilt patina, Dimensions : 45 cm / 17.72 inches Stunning pair of African women carrying water. The woman's body is stylized with elegant elongated proportions. Her limbs are elongated, her back curved, emphasizing her feminine attributes. The legs are in motion, adding dynamism to the sculpture. Her facial features are simplified. The body is cast in black bronze, which enhances the curves and lines. Only the jewelry is gilded, further accentuating the body. This pair is in the typical style of Karl Hagenauer (1898-1956), a renowned Austrian designer specialized in wood and metalwork, famous for his stylized and modern figures. We also feature in our gallery a life-size bronze of the same model.
  • HAGENAUER (d’après), grande porteuse d’eau, « femme girafe » Bronze à double patine noire et dorée percée pour électrification, Années 1970 Dimensions : 163.5 cm Bronze grandeur nature d’une femme africaine portant de l’eau. La femme présente un corps stylisé aux proportions élancées dégangeant une grande élégance. Les membres sont allongés, le dos courbé pour laisser apparaître et mettre en valeur les attributs féminins. Un léger mouvement se dessine dans les jambes, évitant l’effet statique et animant la figure. Les traits du visage sont stylisés et simplifiés. Le corps est en bronze à patine noire, sombre, ce qui met en valeur la ligne et les courbes.  Seuls les bijoux de cuisse, de cou, boucles d’oreilles et vase sont dorés ce qui relève les courbes et met en valeur le corps.  Cette œuvre est caractéristique du style de Karl Hagenauer (1898-1956), un célèbre designer autrichien, spécialisé dans la production d’objets en métal et en bois, reconnu pour ses œuvres modernes et stylisées. Ce modèle date des années 1970, où de nombreuses rééditions des classiques de Hagenauer ont été réalisées. Nous présentons également dans notre galerie une paire de statuettes en bronze du même modèle mais en format plus réduit. 
      Stunning Bronze of an African lady carrying water,  in the style of Karl Hagenauer (1898-1956), 1970’s, Bronze with double black and gilt patina, pierced for electrification Dimensions : 163.5 cm / 64,37 inches Stunning life-size bronze sculpture of an African woman carrying water. The woman's body is stylized with elegant elongated proportions. Her limbs are elongated, her back curved, emphasizing her feminine attributes. The legs are in motion, adding dynamism to the sculpture. Her facial features are simplified. The body is cast in black bronze, which enhances the curves and lines. Only the jewelry is gilded, further accentuating the body. This sculpture is in the typical style of Karl Hagenauer (1898-1956), a renowned Austrian designer specialized in wood and metalwork, famous for his stylized and modern figures. We also feature in our gallery a pair of smaller bronze statuettes of the same model.
  • Masque Kpélié culture Sénoufo, Côte d’Ivoire Bois recouvert de plaques de cuivre, surmonté d’un couple de deux Calao, circa 1950 Dimensions : H : 36.5 cm L : 14.5 cm   Les populations de langue Sénoufo se répartissent sur un large territoire allant du sud du Mali, sud Burkina Faso au nord de la Côte d’Ivoire. On compte aujourd’hui une trentaine de sous-groupes différents. Les Sénoufo possèdent une structure religieuse riche en symboles et rites liée à une organisation initiatique reposant sur les classes d'âges masculines, le poro. En effet, la vie des hommes est rythmée par des étapes dont une initiation pour passer du garçon à l’homme. La société initiatique Lô est la plus importante et s’occupe de l’initiation des jeunes garçons.  Les jeunes garçons apprennent leur rôle, la généalogie, la religion, les enjeux sociaux et une langue spéciale. Les initiations se font dans des espaces éloignés du village, en secret, dans les bois sacrés. Cette initiation est très longue et peut durer dans certains cas pendant trois phases de sept ans. Les objets sont alors confectionnés par des sculpteurs professionnels capables de contrôler la force spirituelle contenus dans les matériaux. A la fin de ces étapes initiatiques, l’initié fait partie des hommes qui savent, des sages.  Le masque Kpélié a une place spécifique, il est utilisé lors des cérémonies initiatiques de la société Lô, lors de funérailles et pendant les cérémonies de récoltes. Les masques Sénoufo ont de nombreuses appellations dont kpélié, kodelié, ou kulié. Kulié est un terme qui dériverait de ku = la mort et ié = le visage, ce qui pourrait indiquer que le masque est associé à un ancêtre. En effet, le culte des ancêtres est majeur pour ces populations. Les masques Sénoufo présentent des formes caractéristiques qui permettent de les identifier. Le visage est ovale, le nez long, une petite bouche qui dans certaines régions peut montrer ses dents, le menton  est long et anguleux. Autour du visage, viennent s’ajouter des éléments périphériques notamment des éléments frontaux figuratifs souvent associés à un des cinq animaux mythologiques, chacun ancêtre d’un clan. Notre masque présente deux oiseaux, qui pourraient représenter le calao, l’oiseau mythologique associé à la notion de procréation et ancêtre du clan des forgerons. Ainsi la présence de l’oiseau permettrait de limiter l’utilisation du masque à ce même clan. Les oiseaux sont cernés de part et d'autre de cornes de bélier, caractéristique de ces masques sans qu’on puisse en définir l’origine symbolique. Au niveau des joues, on remarque des semi ellipses ou triangles et en partie inférieure ce qui ressemble à des jambes. Les masques marquent tous un travail de symétrie et d’équilibre des formes fortement symbolique. L’interprétation précise de l’utilisation de ces masques diffère, Albert Maesen avance que ces masques sont utilisés lors des deux premières phases de l’initiation, et qu’ils évoquent la peur.  Bohumil Holas quant à lui trouve une explication métaphysique et présente un lien avec la spiritualité et la méditation qui serait accessible seulement aux initiés supérieurs, le masque rappellerait alors l’imperfection et la précarité de la condition humaine. Certains masques comme le nôtre présentent du métal appliqué sur le bois sous forme de bandes fixées par des clous à tête ronde. Cette spécificité ressemble aux objets que l’on peut trouver chez les Bamana et les Marka.  La fonction de ces masques en métal reste floue quant à leur utilisation lors de cérémonies religieuses. 
      Splendid Kpélié Mask, Sénoufo population, Ivory Coast 1950 Kpélié Mask, wood covered with copper Dimensions 36.5 x 14.5 cm / 14.17 x 5.51 inches   The populations speaking the Sénoufo language are spread across a vast territory ranging from southern Mali, southern Burkina Faso to northern Ivory Coast. Today, there are around thirty different subgroups. The Sénoufo people possess a rich religious structure rich in symbols and rites linked to an initiatory organization based on male age classes, known as "poro". Indeed, men's lives are punctuated by stages, including an initiation to transition from boyhood to manhood. The initiatory society "Lô" is the most important and handles the initiation of young boys. Young boys learn about their role, genealogy, religion, social issues, and a special language. Initiations take place in areas far from the village, in secret, in sacred groves. This initiation is very lengthy and can last for three phases of seven years in some cases. Objects are crafted by professional sculptors capable of controlling the spiritual force contained within the materials. At the end of these initiation stages, the initiate becomes one of the knowledgeable men, one of the wise. The Kpélié mask holds a specific place; it is used during the initiatory ceremonies of the Lô society, during funerals, and during harvest ceremonies. Sénoufo masks have various names including kpélié, kodelié, or kulié. "Kulié" is a term that may derive from "ku" meaning death and "ié" meaning face, which could indicate that the mask is associated with an ancestor. Indeed, ancestor worship is significant for these populations. Sénoufo masks exhibit characteristic forms that allow for their identification. The face is oval, the nose long, with a small mouth that in some regions may show teeth, and a long, angular chin. Around the face, additional peripheral elements are added, including figurative frontal elements often associated with one of the five mythological animals, each ancestor of a clan. Our mask features two birds, which could represent the hornbill, the mythological bird associated with the notion of procreation and ancestor of the blacksmith clan. Thus, the presence of the bird would limit the use of the mask to this same clan. The birds are surrounded on both sides by ram horns, a characteristic of these masks, without a clear symbolic origin. On the cheeks, semi-ellipses or triangles are noticeable, and on the lower part, what appears to be legs. All masks exhibit a work of symmetry and balance of forms, highly symbolic. The precise interpretation of the use of these masks differs; Albert Maesen suggests that these masks are used during the first two phases of initiation, evoking fear. Bohumil Holas, on the other hand, finds a metaphysical explanation and presents a link with spirituality and meditation accessible only to higher initiates, suggesting that the mask then recalls the imperfection and precariousness of human condition. Some masks, like our, feature metal applied to wood in the form of strips fixed with round-headed nails. This specificity resembles objects found among the Bamana and Marka. The function of these metal masks remains unclear regarding their use in religious ceremonies.
  • Masque « Ntomo », population Bamana, Mali Masque à peigne à quatre dents, bois recouvert de cauris, patine ancienne.  Dimensions : H : 52 cm L : 14.5 cm  Le masque Ntomo, est associé à un rituel d’initiation des jeunes hommes non circoncis des sociétés d’Afrique de l’Ouest. Ce type de masque est identifiable grâce à sa partie supérieure en forme de peigne de trois à huit cornes.  On appelle Bamana les populations du Mali, Nord-Est de la Guinée et Nord de la Côte d’Ivoire, partageant un mode de vie commun et une langue similaire, la langue mandingue. Les Bamana ont une histoire qui remonte à l’Empire du Ghana au IIIe siècle, puis à l’Empire du Mali au XIIIe. On rencontre d’autres appellations de cette population, comme Bambara, qui est utilisée au XIIIe pour désigner ces peuples on convertis à l’islam, bamabara voulant dire “infidèles”. La vie d’un homme issu de cette population est rythmée en étapes codifiées. Un jeune garçon doit passer un rituel initiatique et éducatif dirigé par une société pour devenir un homme. Cette société initiatique forme les jeunes de 6 à 13 ans. Chaque promotion suit une formation secrète de trois à cinq ans. Les enseignements portent sur des questions métaphysiques, sur la maîtrise de soi, la place de l’homme, l'humilité, le respect. D’autres épreuves complètent l'enseignement comme l’apport de vivres, par l'aumône, le travail agricole, la chasse et la pêche. C’est lors de la fête annuelle que les jeunes faisaient des épreuves corporelles de flagellation munis d’un fouet et d’un masque Ntomo.  Ces initiations étaient contrôlées par les forgerons, les seuls à pouvoir confectionner ces masques sacrés.  En effet, le bois est réputé comme réceptacle du nyama, une énergie dangereuse que seuls les forgerons peuvent maîtriser grâce à leurs savoirs.  La confection du masque est rituelle et soumise à des conditions. Avant de sculpter, le forgeron communique avec un génie, le djinn, qui lui indique la localisation de l'arbre à abattre, sa forme et son essence. Le forgeron est soumis à des interdits comme l’abstinence, il doit sculpter seul, loin du village. Les masques, une fois sculptés, bénéficient d’une grande force spirituelle.  Ntomo désigne en Bamana “jujubier”, l’arbre sur lequel étaient offerts les sacrifices. Ntomadyiri, (l’arbre du Ntomo) est considéré comme l’ancêtre des forgerons et le créateur de la société Ntomo, il serait le premier à avoir sculpté un masque.  Par ailleurs, il ne faut pas envisager le masque comme un objet individuel, il est associé à un costume, à un fouet et fait partie d’un rituel. Le masque ressemble à un être cornu, griffu que l’on ne peut définir, faisant référence à des animaux stylisés. La bouche est discrète, le nez proéminent. La bouche fine, parfois absente dans les masques les plus anciens, est associée au contrôle de la parole et des actes, à la préservation des secrets et à la force face à la douleur.  Le nombre de cornes est symbolique et riche de sens, il indique non pas le genre du porteur qui est un jeune garçon, mais le genre du masque. Ainsi les masques à trois ou six cornes est masculin, à quatre ou huit cornes est féminin et à deux, cinq ou sept cornes est androgyne. Notre masque possède quatre dents, est est donc associé au genre féminin. Les masques de genre féminins révèlent selon Dominique Zhan “la nature corporelle de l’homme, sa féminité, passivité et souffrance”.  Un autre masque Bamana est présenté à la vente, il possède sept dents, associé à l'androgynie.  
      Splendid four rams  Ntomo Mask, Bamana Population, Mali Four Rams, Ntomo Mask, Mali, Wood and cowrie shells. Dimensions: 52 x 14.5 cm / 20.48 x 5.51inches The Ntomo mask is used in the initiation rituals of young men in populations across Western Africa. This type of mask is characterized by the presence of rams on the upper part, ranging from 3 to 8 rams. The Bamana people reside in Mali, the north of Guinea, and the north of Ivory Coast, sharing a common way of life and a common language (Mandingo). The Bamana population has a long history, dating back to the Ghana Empire in the 3rd century and the Mali Empire in the 13th century. They are also known as the Bambara, a name given to them by Islamic merchants, meaning "unfaithful," as they did not adopt Islam. The life of a Bamana man is highly structured. Indeed, for a young boy to transition into manhood, he must undergo an initiation ritual overseen by a society. This initiation society imparts secretive teachings to young boys aged 6 to 13. They learn about metaphysical matters, self-control, respect, humility, and the role of men in society. They are also taught survival skills such as hunting, fishing, agricultural labor, and giving alms. During the annual festival, young boys wear the Ntomo mask along with a whip and special clothing. The initiation process is controlled by blacksmiths; only they can craft these masks. Wood is considered the bearer of "nyama," a dangerous energy that only blacksmiths can control through their knowledge. The creation of the mask is a sacred act and comes with many conditions. The blacksmith must communicate with a genie who will indicate which tree to cut and where. The blacksmith then leaves the village and observes abstinence. "Ntomo" means jujube, the tree on which sacrifices were offered. "Ntomadyri," the tree of Ntomo, is considered the ancestor of blacksmiths and the creator of the Ntomo society. It is said to be the first to sculpt a mask. The mask resembles a stylized animal with rams and claws. The mouth is discreet, and the nose is prominent. The small mouth can symbolize control over speech and actions, as well as the keeping of secrets. In the oldest masks, there is no mouth. The number of rams is symbolic; it indicates the gender of the mask (not the wearer's gender). When there are 3 or 6 rams, it is a masculine mask; when there are 4 or 8, it is a feminine mask, and when there are 5 or 7, it is an androgynous mask. Our is a feminine mask. We have another Bamana mask; it has 7 rams.
  • Cet exceptionnel reliquaire Kota provient de la tribu Mahogwe qui vit sur le fleuve Ogooué au Gabon. Les Mahogwe font partie de l'ethnie Kota basée au Nord-Est du Gabon. Cette sculpture est exceptionnelle car elle a été collectée in situ par un administrateur colonial du nom de Fernand Oliveda qui fut un administrateur colonial de haut rang basé entre 1888 et 1930 à Madagascar, au Sénégal et au Congo. En 1925, il était chef du secrétariat du gouverneur général du Moyen-Congo (alors nom du Gabon). Il est très rare de pouvoir avoir une traçabilité claire pour un tel objet, sa collection d'art africain étant restée dans la famille depuis ! Il est composé de bois, de laiton et de cuivre. De fines lamelles de laiton/cuivre enveloppent le noyau bois. Au dos une fine plaque de laiton/cuivre décorée recouvre le bois. Un support en fer moderne sur mesure est fourni pour afficher la sculpture.   This exceptional Kota reliquary comes from the Mahogwe tribe who lives on the river Ogooué in Gabon. The Mahogwe are part of the Kota ethnic group based in the North-East of Gabon. This sculpture is exceptional because it was collected in situ by a colonial administrator named Fernand Oliveda who was a high ranking colonial administrator based between 1888 and 1930 in Madagascar, Senegal and Congo. In 1925 he was Chief of Secretariat for the Middle Congo Governor General (the then name for Gabon). It is very rare to be able to have clear traceability for such an item as his African art collection was kept in the family since then! It is made of wood, brass and copper.. Thin strips of brass/copper are envelopping the wood core. On the back a thin decorated plate of brass/copper covers the wood. A bespoke modern iron stand is provided to desplay the sculpture.
  • Très rare sculpture en bois (bois de cerisier) d'une Africaine par Karl Hagenauer (1898-1956). Le buste est taillé en profil, réalisé dans une seule pièce de bois sur une base ovale plate en laiton. Cette pièce a été sculptée vers 1930. Signée sous la base "Hagenauer Wien handmade" avec le cachet WHW. Très bonne condition.   Very rare wooden sculpture (cherry tree wood) of an African lady by Karl Hagenauer (1898-1956). it is carved as a profile, made out of a single piece of wood on a flat oval brass base. This piece was carved circa 1930. Signed under the base "Hagenauer Wien handmade" with the stamp WHW. Very good condition.
  • Exceptionnelle sculpture/lampe Art Déco de Max Le Verrier (1891-1973) représentant un singe sous un parapluie. Il s'intitule La Pluie "The Rain" ou Le Singe au Parapluie "Monkey with an Umbrella". Modèle créé vers 1925-1927 et récompensé au Salon des Humoristes de Paris en 1927. Lampe de table avec deux ampoules. Coulée de bronze à patine vert antique. L'abat-jour est original et en verre dépoli. Base hexagonale en marbre noir veiné. Signée sur la base "Le Verrier". Edition ancienne très rare. Quelques usures de la patine (voir photos) conformes à l'âge. Câblée pour une utilisation européenne.   Exceptional Art Deco sculpture/lamp by Max Le Verrier (1891-1973) representing a monkey under an umbrella. It is titled "The Rain" or "Monkey with an Umbrella". Model created around 1925-1927 and rewarded at the Salon des Humoristes (Humorists Exhibition) in Paris in 1927. Table lamp with two bulbs. Casting bronze with antic green patina. The lamp shade is original and made of frosted glass. Hexagonal base in veined black marble. Signed on the base "Le Verrier". Ancient edition which is very rare. Some wear and tear on the patina (see pictures) consistent with age. Wired for European use.
  • Très rare sculpture en porcelaine représentant un oiseau stylisé par Jacques Adnet (1900-1984) et fabriquée par Gérard, entreprise de porcelaine Dufraissex et Abbot basée à Limoges pour la Compagnie des Arts Français. Porcelaine émaillée ivoire, vers 1930. Signée ADNET sur la base, porte la marque du fabricant à l'intérieur de la base. Hauteur : 20 cm. Condition parfaite. Bibliographie : Les Echos des Industries d'Art - N° 40 de novembre 1928 : modèle identique reproduit page 14. Pour plus d'informations sur Jacques Adnet, cliquez ici.   Very rare porcelain sculpture representing a stylized bird by Jacques Adnet (1900-1984) and manufactured by Gérard, Dufraissex et Abbot porcelain company based in Limoges for Compagnie des Arts Français. Porcelain with ivory enamel, circa 1930. Signed ADNET on the base, wears the mark of the manufacturer inside the base. Height: 20cm. Perfect condition. Bibliography : Les Echos des Industries d'Art - N° 40 dated November 1928 : identical model reproduced page 14. For more information about Jacques Adnet, click here.
  • Bronze d'une porteuse d'eau africaine Années 1970 Bronze grandeur nature d'une femme africaine portant de l'eau. Bronze et laiton. Dans le style de Karl Hagenauer, célèbre designer autrichien actif entre les années 1920 et 1950. Dimensions : H : 166cm ; diamètre de la base : 30cm.   Pour plus d'informations sur le créateur, cliquer sur le nom : Karl Hagenauer
    Bronze of an African lady carrying water 1970's Stunning life size bronze of an African lady carrying water. Bronze and brass. It is in the typical style of Karl Hagenauer ; famous Austrian designer active between the 1920's and the 1950's. Dimensions : height 166cm ; diameter of the base 30cm. For more informations : Karl Hagenauer
  • René Herbst (1891-1982) Buste en aluminium Année 30 Hauteur : 55 cm   Pour plus d’informations sur le créateur, cliquer sur le nom : René HERBST
    Aluminium bust by René Herbst (1891-19892) Aluminium bust 1930s Dimensions : H : 21.66 in H : 55 cm   For more informations : René HERBST
  •   Figure équestre Koma-Bulsa – Ghana Terre cuite, XIV-XV siècle (datation par test de thermoluminescence) Sculpture naturaliste présentant certains motifs artistiques typiques des anciennes traditions culturelles Koma-Bulsa, notamment la coiffure cocave avec ornements frontaux tressés, le collier chiik en demi-lune semblable à celui que portent les Bulsa aujourd’hui, le poignard inséré dans une lanière ornementale portée à l’l’épaule gauche. H : 33,5 cm ; L : 26 cm ; P : 13 cm Test de thermoluminescence Interexpert 388317 du 18 mars 1988
      Exceptional antique African Tribal Art terracotta sculpture representing a rider on his horse. It dates back from the 14th -15th century AD and its dating has been confirmed by a thermoluminescence test (Interexpert certificate 388317, 18 March 1988) - scan attached with the photos. It belongs to the Koma-Bulsa culture located in present Ghana. This is a naturalist sculpture with traditional Koma-Bulsa patterns as the concave shape hairstyle, the half-moon chiik necklace similar to the ones worn by Bulsa people today, the knife laced on the upper arm. It is exceptional to find a confirmed antique African terracotta in such a well-preserved state. (TL Test)  
  • Masque Dan-Guéré Côte d'Ivoire   Bois, patine d'usage noire, pigments, nombreuses clochettes en bronze, fibres végétales Première moitié du XXème siècle H : 24,5 cm ; L : 21 cm ; P : 10 cm.
    This exceptional mask belongs to the sought after Dan-Guéré mask family (Africa - Côte d'Ivoire/Ivory Coast). It is made from wood with a nice black patina, pigments and comes with a beautiful set of small bronze bells and hair made of vegetable fibers. It dates from the first half of the 20th century. H : 9.65 in; W : 8.27 in ; D : 3.94 in.

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